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Champ de Bataille,

à VERDUN

 " 1916 " (la bataille de Verdun)

août 2019

RAPPEL HISTORIQUE

300 jours et 300 nuits de combats. Plus de 700 000 hommes morts, blessés ou disparus, français et allemands. La bataille de Verdun de 1916 est un choc frontal, le plus meurtrier de l'histoire entre la France et l'Allemagne. Cette lutte d'anéantissement total des hommes et des défenses sybolise et résume la guerre industrielle.

On ne peut pas saisir l'horreur profonde de Grande Guerre et comprendre le sacrifice de toute une génération sans se rendre à Verdun.

300 days and 300 nights of fghting. Over 700 000 French and German men dead deadliest frontal enounters between in history betwenn france and germany. This struggle of total annihilationof men and defences symbolizes and resumes the industrial war.

One can not fully grab the profound orrors of the great war and comprehend the sacrifice of a hole generation without visiting Verdun.

'' L'Ossuaire de Douaumont "

L'ossuaire de Douaumont est un monument à la mémoire des soldats de la bataille de Verdun de 1916, situé à la limite des communes de Douaumont-Vaux et Fleury-devant-Douaumont, à quelques kilomètres de Verdun, dans le département de la Meuse en région Grand-Est.

L'ossuaire est conçu au lendemain de l'armistice de 1918 à l'initiative de Mgr Charles Ginisty, évêque de Verdun. Inauguré le 7 août 1932 par le président de la République, il abrite les restes de 130 000 soldats inconnus, Français et Allemands. Il est le lieu d'un des symboles de l'amitié franco-allemande : la poignée de main de François Mitterrand et Helmut Kohl le 22 septembre 1984. Il est classé aux monuments historiques le 2 mai 1996.

En face de l'ossuaire, la nécropole nationale de Douaumont rassemble 16 142 tombes  de soldats français, majoritairement catholiques, dont un  carré de 592 stèles de soldats musulmans. Le cimetière militaire contient également deux mémoriaux respectivement consacrés aux soldats de confessions juive et musulmane.

'' Le FORT de Douaumont "

Le fort de Douaumont, appelé brièvement fort Gérard, est un ouvrage fortifié situé sur la commune de Douaumont-Vaux dans la commune déléguée de Douaumont, dans le département de la Meuse. Il s'agit d'un des forts de la place forte de Verdun, faisant partie du système Séré de Rivières.

Construit en 1884-1886 et modernisé en 1901-1913, le fort fut un des lieux emblématiques de la bataille de Verdun en 1916 : pris par les troupes allemandes en février, il est repris par les Français en octobre de la même année. Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, ses ruines attirent les touristes ; il est depuis 1970 classé monument historique.

''Tranchée des Baïonnettes "

A la mémoire des soldats Français qui dorment debout le fusil en main dans cette tranchée. Leurs frères d'Amérique. 

Prêts à l'attaque ensevelis fusil en mains, dans leurs tranchée actuellement recouverte par le monument de la tranchée des Baïonnettes. Érigé en 1919 par les soins du colonel de Bonnefoy commandant Le 137ème R.I.  La tranchée des baïonnettes est un monument commémoratif de la bataille de Verdun en 1916. Le site est classé monument historique en 1922 et reconnu en tant que haut-lieu de la mémoire nationale en mars 2014. Il est situé sur le ban communal de Douaumont-Vaux (Meuse).

''LOUVEMONT , village détruit "

Elle fait partie des neuf villages français détruits durant la 1ère Guerre mondiale non reconstruits car classés en zone rouge du département de la Meuse. 

Durant la Première Guerre mondiale, le début des combats dans la commune ont lieu le 18 septembre 1914, les tranchées sont tenues par le 106e régiment d'infanterie.

Le 21 février 1916, le tonnerre des canons marque le début de la bataille de Verdun. Situé sur le secteur de Verdun, le village perdu par les troupes françaises le 24 février 1916 et repris le 15 décembre 1916 disparaîtra totalement sous l'acharnement des pilonnages des obus français et allemands.

Cette commune ne possède aucun habitant. C'est l'un des neuf villages français détruits durant la Première Guerre mondiale qui n'a jamais été reconstruit. Déclaré « village mort pour la France » à la fin des hostilités, il fut décidé de conserver cette commune en mémoire des évènements qui s'y déroulèrent. La commune est aujourd'hui administrée par un conseil de trois personnes désignées par le préfet de la Meuse.

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